Formation en alternance en sciences et technologie (FAST) et rapport au savoir d’élèves inscrits en formation générale au secondaire


Communication

Contributeurs:

État de publication: Publiée (2014 )

Type de présentation: 82e Congrès de l'ACFAS

Nom de la rencontre: Colloque 502 : Apprentissage

Lieu: Montréal, Canada

URL: https://www.acfas.ca/evenements/congres/programme/82/500/502/d

Résumé: La FAST, qui vise l’amélioration du rapport à la science des élèves, se veut un dispositif que l’école secondaire met en œuvre dans son propre contexte écosystémique. L’hypothèse de départ du projet de recherche, analysée selon deux méthodologies s’inscrivant dans la perspective socioculturelle, à savoir l’expérimentation de devis (Breuleux et al, 2002) et la formation-intervention découlant de la théorie de l’activité (Engeström, 2011), était que les technologies et outils numériques viendraient soutenir l’apprentissage des élèves placés en situation d’alternance. Trois établissements scolaires ont initié un modèle d’alternance école-entreprise. Par l’entremise de questionnaires en ligne, de groupes de discussion et d’entrevues individuelles réalisées en face à face auprès d’élèves, d’enseignants et de partenaires externes, nous avons repéré les dynamiques et les impacts du double fait d’introduire des situations d’alternance et des technologies et outils numériques. Le regard posé est méso et micro. Au niveau méso, c’est l’analyse par les participants eux-mêmes, à l’aide des chercheurs, de leurs systèmes d’activité ainsi que leur travail sur les tensions repérées qui, selon la théorie de l’activité, leur permettent de trouver des formules capables de conduire vers l’objet visé. Au niveau micro, c’est le rapport au savoir des jeunes qui se revivifie de par leurs contacts avec le monde du travail qui intègre les technologies numériques et leur propre usage de ces mêmes outils.

Mots clé(s):

Théorie de l'activité: